Promenades dans Rome.
Assembly practices between visions, ruins, and reconstructions
Silvana Editoriale | Edited by Filippo Fanciotti | 2023
Content
For artists and poets, the ‘Roman walk’ was a sublime experience, where the emulation of ancient splendour produced an inner catharsis. Meanwhile, for architects it became fertile territory for the imagination, where the accumulation of layers and objects provided the material for projecting a new city.
The eternal city appears as an interrupted dream, suspended in a time in which past and future have no sequence.
The perpetual presence of antiquity triggers a unique method to interpret and read history, inherent to the city itself: Rome allows no orderly succession of ‘rebirths’, no vanished civilizations. Rome privileges continuity. Ruins fascinate us because they return to their original, elemental nature: only form and only matter. The vestiges of ancient buildings sit outside the flow of events, exempt from their rules, therefore immortal.
Rome, as a monumental Wunderkammer, ‘city built in fragments’, ‘model of additive practice’, ‘atlas of affinities’, and ‘repertoire of analogies’ through a dialectical approach confronting history, theory, criticism, photography, cinema, and architecture, is archaeology in reverse, where it is the city itself that reassembles its own singular, disparate fragments, becoming the largest and most complex work of art in the world.
For artists and poets, the ‘Roman walk’ was a sublime experience, where the emulation of ancient splendour produced an inner catharsis. Meanwhile, for architects it became fertile territory for the imagination, where the accumulation of layers and objects provided the material for projecting a new city.
The eternal city appears as an interrupted dream, suspended in a time in which past and future have no sequence.
The perpetual presence of antiquity triggers a unique method to interpret and read history, inherent to the city itself: Rome allows no orderly succession of ‘rebirths’, no vanished civilizations. Rome privileges continuity. Ruins fascinate us because they return to their original, elemental nature: only form and only matter. The vestiges of ancient buildings sit outside the flow of events, exempt from their rules, therefore immortal.
Rome, as a monumental Wunderkammer, ‘city built in fragments’, ‘model of additive practice’, ‘atlas of affinities’, and ‘repertoire of analogies’ through a dialectical approach confronting history, theory, criticism, photography, cinema, and architecture, is archaeology in reverse, where it is the city itself that reassembles its own singular, disparate fragments, becoming the largest and most complex work of art in the world.
Authors
Nicola Braghieri, Elisa Boeri, Filippo Cattapan, Francesca Mattei, Giacomo Pala, Valter Scelsi.
Gaia Cambiaggi, Nadia Cannata, Paolo Carpi, Vasileios I. Chanis, Giusi Ciotoli, Pierre Coffy, Edina Eszenyi, Marco Falsetti, Angela Fiorelli, Luca Frepoli, Marianna Giannini, Emilia Giorgi, Leonie Groblewski, Micheal Groblewski, Margaret J.-M. Sönmez, Carole Lévesque, Juan López Cano, Jacqueline Maurer, Vincenzo Moschetti, Vittorio Pizzigoni, Florina Pop, Carlo Prati, Chiara Salari, Koenraad Vos, Maia W. Wellington Gahtan.
With images by Filippo Fanciotti and a photo essay by Anna Positano.
COLLANA Biblioteca d'arte, 80
A CURA DI Filippo Fanciotti
LINGUA Inglese
ANNO 2023
ISBN 9788836651177
Gaia Cambiaggi, Nadia Cannata, Paolo Carpi, Vasileios I. Chanis, Giusi Ciotoli, Pierre Coffy, Edina Eszenyi, Marco Falsetti, Angela Fiorelli, Luca Frepoli, Marianna Giannini, Emilia Giorgi, Leonie Groblewski, Micheal Groblewski, Margaret J.-M. Sönmez, Carole Lévesque, Juan López Cano, Jacqueline Maurer, Vincenzo Moschetti, Vittorio Pizzigoni, Florina Pop, Carlo Prati, Chiara Salari, Koenraad Vos, Maia W. Wellington Gahtan.
With images by Filippo Fanciotti and a photo essay by Anna Positano.
COLLANA Biblioteca d'arte, 80
A CURA DI Filippo Fanciotti
LINGUA Inglese
ANNO 2023
ISBN 9788836651177

Figuration et représentation expressive
École Polytechnique Fédérale De Lausanne - EPFL . CH | Laboratory of Arts for Sciences (LAPIS)
Le cours Figuration expressive a pour objectif de permettre aux étudiants de développer un répertoire figuratif personnel et d’acquérir des connaissances de base en histoire et techniques de la représentation.
Réflexion théorique et approche pratique sont inséparables de la méthode d’enseignement.
Le travail réalisé pendant le semestre mènera à la représentation d’une idée architecturale à travers une image allégorique, à la fois réaliste et magique, ironique et nostalgique. Chaque image est conçue comme une l’allégorie d’une idée d’architecture. En ce sens, l’image est un outil de communication. Elle vise à transmettre une prise de position, une pensée, un concept, un sentiment… Elle ouvre une réflexion sur la nature des choses et remplit l’espace qui sépare le monde des idées de celui de la matière.
Les principes fondamentaux sont transmis à travers des investigations théoriques qui permettent d’aborder les grandes questions de la représentation de l’architecture: composition, proportion, hiérarchie, point de vue, cadrage, phénomènes, temporalités, abstraction, symbolisme …
Les techniques expressives appartenant au domaine de l’art sont considérées comme le miroir des opérations logiques et formelles de l’architecte et deviennent des instruments opératoires pour les étudiants.
Le but fondamental de l’enseignement est d’aider chaque étudiant à construire un répertoire personnel de références, ouvert non seulement sur le monde de l’architecture, de la littérature, du cinéma et des arts en général, mais aussi sur celui de la vie quotidienne et des souvenirs personnels.
Réflexion théorique et approche pratique sont inséparables de la méthode d’enseignement.
Le travail réalisé pendant le semestre mènera à la représentation d’une idée architecturale à travers une image allégorique, à la fois réaliste et magique, ironique et nostalgique. Chaque image est conçue comme une l’allégorie d’une idée d’architecture. En ce sens, l’image est un outil de communication. Elle vise à transmettre une prise de position, une pensée, un concept, un sentiment… Elle ouvre une réflexion sur la nature des choses et remplit l’espace qui sépare le monde des idées de celui de la matière.
Les principes fondamentaux sont transmis à travers des investigations théoriques qui permettent d’aborder les grandes questions de la représentation de l’architecture: composition, proportion, hiérarchie, point de vue, cadrage, phénomènes, temporalités, abstraction, symbolisme …
Les techniques expressives appartenant au domaine de l’art sont considérées comme le miroir des opérations logiques et formelles de l’architecte et deviennent des instruments opératoires pour les étudiants.
Le but fondamental de l’enseignement est d’aider chaque étudiant à construire un répertoire personnel de références, ouvert non seulement sur le monde de l’architecture, de la littérature, du cinéma et des arts en général, mais aussi sur celui de la vie quotidienne et des souvenirs personnels.
L’idée architecturale trouve ainsi sa forme expressive et son caractère grâce à un travail continu d’analogie avec des images à la fois proches et lointaines…
L’exercice propose aux étudiants de produire, par groupe de deux, deux images vraisemblables sur la base d’un tableau donné et d’un dispositif tridimensionnel répondant à la proposition suivante : Soit un espace intérieur, une chambre (du grec καμάρα, kamára; latin camera) comportant au moins une ouverture vers l’extérieur et une ouverture vers l’intérieur ; c’est-à-dire un seuil entre le dedans et le dehors, un instantané entre un avant et un après.
reconstruction – La première sera la restitution précise, vraisemblable et réaliste du tableau – à l’exception des êtres humains et autres animaux.
déconstruction – La seconde, proposera la composition d’une nouvelle image, sur la base de l’image donnée, en modifiant une ou plusieurs de ses caractéristiques telles que perspective, point de vue, cadrage, lumières, …
Here follow some examples of deconstructions of the Vermeer’s Music lesson made by myself .
L’exercice propose aux étudiants de produire, par groupe de deux, deux images vraisemblables sur la base d’un tableau donné et d’un dispositif tridimensionnel répondant à la proposition suivante : Soit un espace intérieur, une chambre (du grec καμάρα, kamára; latin camera) comportant au moins une ouverture vers l’extérieur et une ouverture vers l’intérieur ; c’est-à-dire un seuil entre le dedans et le dehors, un instantané entre un avant et un après.
reconstruction – La première sera la restitution précise, vraisemblable et réaliste du tableau – à l’exception des êtres humains et autres animaux.
déconstruction – La seconde, proposera la composition d’une nouvelle image, sur la base de l’image donnée, en modifiant une ou plusieurs de ses caractéristiques telles que perspective, point de vue, cadrage, lumières, …
Here follow some examples of deconstructions of the Vermeer’s Music lesson made by myself .








Vision et Utopie
École Polytechnique Fédérale De Lausanne - EPFL . CH | Laboratory of Arts for Sciences (LAPIS)Le cours Vision et Utopie est conçu comme une randonnée aventureuse entre visions idéales et figurations utopiques de l’imaginaire architectural. Un imaginaire merveilleux et surprenant quia produit un nombre démesuré de visions apparemment invraisemblables. Des images qui cachent derrière leur aspect étrange l’extraordinaire fécondité de la pensée architecturale et des formes tangibles qu’elle procure aux idées et aux pulsions du progrès scientifique.
L’architecture, de manière plus fascinante que les autres sciences et de manière plus concrète que les autres arts, a su produire les images d’un futur quotidien, particulièrement radieux et plein d’espoir. L’aventure millénaire de la pensée utopique, entre vérité et vraisemblance, est transmise à travers une lecture phénoménologique des exemples du répertoire fantastique offert par les projets d’architecture et les descriptions littéraires.
L’architecture, de manière plus fascinante que les autres sciences et de manière plus concrète que les autres arts, a su produire les images d’un futur quotidien, particulièrement radieux et plein d’espoir. L’aventure millénaire de la pensée utopique, entre vérité et vraisemblance, est transmise à travers une lecture phénoménologique des exemples du répertoire fantastique offert par les projets d’architecture et les descriptions littéraires.
Il est demandé aux étudiants de mettre à profit leur esprit rhétorique afin de réaliser une œuvre graphique composée de visions d’un monde utopique entre rêve et réalité. Le sujet sera explicitement absurde et les techniques d’expression employées devront représenter les objets comme s’ils étaient réels. Un travail entre paradoxe et vraisemblance qui met en évidence le pouvoir dialectique et rhétorique de l’architecture.
Here follow my vision “La vestizione di sua eminenza il dodicesimo prelato di Amauroto.”
Here follow my vision “La vestizione di sua eminenza il dodicesimo prelato di Amauroto.”
























Ut fabula visiones . city visions with a plot
TU Graz - Institut für Architektur und Medien ) | Digital form and movementUt pictura poësis : the notorious expression by Quinto Orazio Flacco seems to highlight how both in poetry and painting there are immediately understandable, glaring messages along with other less obvious, hidden meanings to be found.
Ut fabulae visiones - city visions with a plot - focuses on the dialogue between the worlds of visualization and storytelling, exploring different tecnhiques with an emphasis on the evolution of representation of architecture and cities through the history of art.
Starting from a critical analysis of a Calvino’s invisible city, the workshopshop is divided in progressive steps, each of them functional to the production of a final spacial narrative.
Consisting with the construction of a sort of Atlas mnemosyne, combined to a List of Topics [on the basis of Richard Hamilton methodology], every day the program will see the alternation of four main moments:
1. a theoretical frontal class;
2. a practical assisted workshop;
3. a moment of collective confrontation;
4. an individual reworking.
Ut fabulae visiones - city visions with a plot - focuses on the dialogue between the worlds of visualization and storytelling, exploring different tecnhiques with an emphasis on the evolution of representation of architecture and cities through the history of art.
Starting from a critical analysis of a Calvino’s invisible city, the workshopshop is divided in progressive steps, each of them functional to the production of a final spacial narrative.
Consisting with the construction of a sort of Atlas mnemosyne, combined to a List of Topics [on the basis of Richard Hamilton methodology], every day the program will see the alternation of four main moments:
1. a theoretical frontal class;
2. a practical assisted workshop;
3. a moment of collective confrontation;
4. an individual reworking.
The goal of the step by step exercise is to produce a very personal vision of an ideal/virtual city, as an allegorical representation based on a structured narrative.
The output will be a choral work, a collection of images made with the collage technique, transversally assembling the most varied historical periods, but with the growing awareness of constructing a credible and coherent discorso per immagini with a precise narrative intent.
The aim of the workshop is to help the student to define a coherent and conscious visual language that allows the development of a proper narrative, a fiction, a visual and architectural rhetoric.
here follow some of the final results.
The output will be a choral work, a collection of images made with the collage technique, transversally assembling the most varied historical periods, but with the growing awareness of constructing a credible and coherent discorso per immagini with a precise narrative intent.
The aim of the workshop is to help the student to define a coherent and conscious visual language that allows the development of a proper narrative, a fiction, a visual and architectural rhetoric.
here follow some of the final results.
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Riti, Miti e Infoarredi .
I rituali della nuova casa telematica
Università di Genova, Scuola Politecnica | Laboratorio di Progettazione 3CL’amore per la casa, scrive John Lukacs1, è una delle principali conquiste dell’epoca borghese, ma nel XX secolo per il ceto medio si concretizza come una netta separazione dell’esistenza in due sfere distinte: quella pubblica, destinata all’uomo, e quella privata, affidata alla donna.
Se nel secolo della modernità liquida2 e della vita quotidiana come rappresentazione3 queste categorie perdono progressivamente di polarità, dando luogo a uno scenario sempre più ibrido e dinamico, è con l’ingresso e il successivo moltiplicarsi nelle case dei dispositivi telematici che avviene una rivoluzione, tanto vera quanto immateriale, che stravolge i rituali che in esse si compiono.
L’ossessione per la «casa del futuro» ha prodotto nel corso del XX secolo visioni che prevedevano cambiamenti radicali nella forma e nell’organizzazione dello spazio domestico sulla base dei progressi della tecnologia: dalla Dymaxion House di Buckminster Fuller (1927), alla House of the Future degli Smithson (1956), all’articolo «A Home is Not a House» di Reyner Banham e François Dallegret (1965), all’infinità di scenari imaginifici e che oggi ascriviamo al genere del «Retro» o del «Paleo» futurismo4.
Una di queste riflessioni, La Casa Telematica di Ugo La Pietra, allestita alla Fiera di Milano nel 1983, metteva al centro del discorso l’impatto dei media e delle telecomunicazioni sull’ambiente domestico. Il progetto non si proponeva di offrire soluzioni pratiche, ma piuttosto di far riflettere i visitatori su un cambiamento in atto: gli strumenti informatici e telematici erano destinati a trasformare le loro vite per sempre. La Pietra riduceva la casa a una sorta di set televisivo in cui le connessioni invadevano e attraversavano prepotentemente lo spazio per raggiungere il tubo catodico di televisori assemblati ai più tradizionali oggetti d’arredo: nella «cerniera» di un letto matrimoniale smembrato, nello schienale delle poltrone - degne e indipendenti sostitute del divano - fino a divenire l’ospite d’onore del tavolo da pranzo o pavimento stesso della stanza da bagno.
Mentre l’aspetto fisico, tangibile e decisamente parodistico - ma formalmente ben connotato - di queste connessioni si poteva facilmente inserire in un sottogenere letterario che avrà grande fortuna negli anni a venire (Blade Runner usciva nel 1982), nella casa odierna, sempre più popolata da dispositivi wireless e dotati di mirabile liscezza, il linguaggio non è mai stato così asciutto: le estensioni della telematica sono onnipresenti, ma immateriali e con terminali rigorosamente anonimi come esige il mercato.
Se infatti buona parte delle visionarie previsioni novecentesche sono state disattese - la tipologia della maggior parte delle abitazioni è rimasta sostanzialmente inalterata - la
sinistra e tentacolare diffusione dei dispositivi digitali ha però cambiato profondamente la vita privata e, in alcuni casi, ha generato vere e proprie chimere: una serie di schermi trasforma l’armadio in un’impalcatura ipertecnologica per il gamer, webcam strategiche convertono la cameretta in un set a luci rosse per la Camgirl o il Camboy, smartphone e tablet in mano a gruppi di social media addicted vanificano il ruolo di catalizzatore sociale del salotto, il modem trasforma il cubicolo dell’hikikomori in un bunker impenetrabile ma iperconnesso, ring lights e background scenografici travisano l’aspetto delle scarne stanze in affitto di youtuber e tiktoker, interi appartamenti divengono showroom virtuali nella casa dell’ influencer.
La cucina è forse l’unico ambiente della vecchia guardia a vedersi complessivamente investita dal cambiamento in atto, di fatto convertita in un tempio delle interfacce, dove “l’automatismo informatico di strumenti e apparecchi dà vita a un rapporto quasi passivo con coloro che li adoperano” fino a communtarsi “in uno spazio delle decisioni, dove basta sfiorare un piano o uno schermo perché si accendano e attivamente lavorino agli «infodomestici», al di là del controllo personale e secondo logiche stabilite altrove”5, infine rivolgendosi ad un pubblico finalmente distante da quelle casalinghe che nell’immaginario del secolo scorso ivi custodivano un tiepido barlume del focolare domestico ...
Come muterà la pelle degli altri templi, affinché i vecchi dèi possano convivere con le nuove divinità in gioco?
È a partire da queste riflessioni e dallo studio combinato dei dispositivi digitali e dei nuovi cerimoniali domestici che si propone di ripensare l’ambiente della casa attraverso i suoi arredi, per disegnare una topografia dell’abitare che metta al centro l’essere umano nella sua specificità e con i suoi rituali. Il percorso prevede un’indagine critica pluridirezionale degli utensili domestici finalizzata ad una riscoperta e celebrazione del banale (fase 1) e la successiva applicazione operativa nella progettazione di un «infoarredo»6 dedicato a un nuovo rito, che dialoghi formalmente con la sua componente simbolica e che integri senza vergogna i nuovi media (fase 2).
Note
1. Lukacs, John. The Bourgeois interior, in «American Scholar», XXXIX, n. 4, pp. 616-30, 1970.
2. Bauman, Zygmunt. Modernità liquida, 1999.
3. Goffmann, Erving. La vita quotidiana come rappresentazione, 1959.
4. Si tratta di due neologismi inglesi. La paternità del prim termine è generalmente attribuita a Lloyd John Dunn (1983), mentre il secondo è di più dubbia attribuzione. Si rimanda al blog paleofuture.com curato da Matt Novak.
5. Imma Forino, La cucina, Storia Culturale di un luogo domestico, Einaudi 2019
6. Termine di invenzione, rielaborazione di infodomestico, a sua volta introdotto da Imma Forino (v. nota 5 ). Nello specifico si intende una microarchitettura da interno arricchita da una o più componenti telematiche e/o digitali.
di seguito alcuni risultati
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